
Le chanvre, la culture écologique par excellence !
Une plante sobre
Grâce à ses racines profondes, le chanvre nécessite très peu d’eau pour pousser. Si bien que la SDEA (Syndicat des Eaux et de l’Assainissement) soutient sa culture sur les zones de captage prioritaires.
Résistante à la sécheresse, cette culture permet ainsi de préserver les ressources en eau des nappes phréatiques et des rivières.
En outre, Le chanvre a un fort pouvoir étouffant sur les mauvaises herbes elle ne nécessite aucun produit phytosanitaire ou insecticide, ce qui préserve l’équilibre naturel des sols.
Ses racines profondes nettoient la terre et aèrent le sol, favorisant le rendement des cultures suivantes.
Un fort pouvoir absorbant de CO2
Un hectare de chanvre absorbe autant, si ce n’est plus, de CO2 qu’un hectare de forêt.
Un hectare de culture de chanvre absorbe 15 tonnes de CO2 par an. Et ce n’est pas tout : la chènevotte – le cœur de la tige qui est utilisé pour faire le béton – continue d’absorber du CO2 une fois transformée !
Un hôtel à insectes
Le chanvre, de part sa hauteur et son feuillage dense est un excellent hôtel à insectes et accueille ainsi une partie de la biodiversité. De plus, il est pollinifère et permet aux abeilles de se nourrir grâce à son pollen.
De ce fait, la culture du chanvre contribue à pérenniser les écosystèmes.
Une plante aux multiples utilisations
Que ce soit dans l’alimentation, la cosmétique, le domaine thérapeutique, dans les matériaux de construction, le textile, les cordages, pour les fibres papier, les plastiques végétals ou encore la biomasse (carburant), on dénombre plus de 25 000 utilisations différentes liées au chanvre.
(Source : Les Herbes de La Joie)